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12 avril 2008

C'est fini

Enfin, c'est terminé. Je suis épuisé, mais content d'avoir traversé ces épreuves. Y a eu du très dur et du faisable, pas de facile. Mais j'ai essayé de tout faire, même si je pense honnêtement que je suis trop just. On verra. Quand j'en aurai la patience, je mettrai les sujets en ligne. Pour le moment, le but de la manoeuvre c'est de récupérer du sommeil perdu. Je suis épuisé, je sens que la fatigue commence à ébranler toutes les défenses et qu'il me faudra une bonne semaine pour me remettre de cette session agreg 2008. Ce fut formateur, quoi qu'il en soit. Bon allez: littérature française: "Les routes de Julien Gracq ne mènent nulle part. Si elles ont un terme, il est sans importance, et jamais le récit n'y aboutit parce que l'essentiel est ailleurs. Mais cet ailleurs, seule la route peut le désigner. Elle ne le nomme pas, il est innommable. Elle le fait seulement pressentir et le récit se limite à enclencher des mécanismes, à faire jouer des déclics qui remagnétiseront l'espace pour mieux nous aimanter. Sur les routes de Julien Gracq s'inscrit le trajet d'une fascination. Le but géographique est dérisoire, la finalité est d'ordre mystique, à tout le moins philosophique, c'est d'initiation qu'il s'agit. La révélation est au bout du chemin, mais au fil du parcours, chacun comprend que le chemin, jamais, ne finira et que tout tient dans la promesse." littérature comparée: "Le lieu de naissance du roman est l'individu dans sa solitude, quine dispose plus d'expression exemplaire de ses intérêts les plus vitaux et qui, n'étant conseillé par personne, est lui-même incapable de conseiller qui que ce soit". latin: Ager in medio harenosus, una specie; neque flumen neque mons erat, qui finis eorum discerneret. Quae res eos in magno iuturnoque bello inter se habuit. Postquam utrimque legiones, item classes saepe fusae fugataeque et alteri alteros aliquantum attriueret. ueriti, ne mox uictos uictoresque defessos alius aggrederetur, per indutias sponsionem faciunt, uti certo die legati domo proficiscerentur: quo in loco inter se obuii fuissent, is communis utriusque populi finis haberetur. Igitur Carthagine duo fratres missi, quibus nomen Philaenis erat, maturauere iter pergere, Cyrenenses tardius iere. Id socordiane an casu acciderit, parum cognoui. Ceterum solet in illis locis tempestas haud secus atque in mari retinere. Nam ubi per loca aequalia et nuda gignentium uentus coortus harenam humo excitauit, ea magna ui agitata ora oculosque implere solet: ita prospectu impedito morari iter. Postquam cyrenenses aliquanto posteriores se esse uident et ob rem corruptam domi poenas metuont, criminari Carthaginiensis ante tempus domo digressos, conturbare rem, denique omnia malle quam uicti abire. Sed cum Poeni aliam condicionem, tantummodo aequam, peterent, Graeci optionem Carthaginiensium faciunt, ut uel illi, quos finis populo suo peterent, ibi uiui obruerentur, uel eadem condicione sese quem in locum uellent processuros. Philaeni condicione probata seque uitamque suam rei publicae condonauere: ita uiui obruti. Si je trouve le reste déjà prêt, je le mettrai. Que du bonheur non ?
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